Pas loin de 800 bornes plus tard, et avant la première révision, je dois bien dire que je suis très satisfait de mon nouveau scooter. Je suis passé aux deux roues il y a deux ans environ, ayant eu ma dose de transports en commun. Cela me grattait depuis quelques années, mais je n’avais jamais osé franchir le pas. Et puis un beau jour, je suis tombé sur une pub pour le PCX 125 de Honda. Une petite bécane sans prétention, pas chère et de qualité. J’ai alors poussé la porte du concessionnaire (note pour ceux qui penseraient à passer aux 2 roues : évitez de prendre un concessionnaire Avenue de la Grande Armée. Enfin, moi je dis ça, c’est pour vous… Quelques centaines de mètres après avoir pris livraison de votre bolide, vous aurez le plaisir intense de vous cogner la Place de l’Etoile…).
Je ne sais plus comment je suis tombé sur le Métropolis 400. Je crois que c’est en préparant un rendez-vous pro. J’ai immédiatement été séduit par l’engin : motorisation en 400 cm3 qui envoie, un look plutôt agressif, et puis l’idée que 3 roues ce serait plus stable / moin dangereux qu’un deux roues (le PCX est très sympa, mais c’est un moustique). Et puis aussi la « Smart Key » : plus besoin de clé, le scooter vous « reconnait » quand vous êtes à moins d’un mètre cinquante de lui.
En me renseignant sur le Métropolis 400, j’ai eu quelques échanges avec un concessionnaire Peugeot… sur Twitter (@advantagescooters). Lorsque le « CS » (comme on dit sur les forums spécialisés) a eu des véhicules d’essai, j’ai sauté sur l’occation. Et j’ai signé un bon de commande dans la foulée. Je vous passe l’attente interminable, mes coups de fils incessants au CS ainsi qu’à Peugeot Scooters…. Jusqu’au jour où j’ai enfin reçu mon Métropolis !
Les premiers kilomètres ont été un peu « durs ». J’étais assez fébrile au guidon de mon nouveau scooter. Pas le même gabarit, pas le même poids que l’ancien. Il m’a fallu finalement peu de temps pour maitriser (si je puis dire) la bête. Et depuis, sans faire le foufou parce que le 2 roues (même à 3 roues) c’est dangereux), je m’éclate.
Un regret toutefois : malgré la taille de la machine, il est difficile de ranger un second casque. Le coffre arrière abrite sans problème un intégral (je possède un C3 de Schuberth). Sous la selle, à part un sac à dos / laptop, vous ne mettrez pas grand chose.