Il y a quelques lunes de cela, j’ai (enfin) achevé la lecture de la deuxième partie de Dune, le célèbre ouvrage de Frank Herbert dans lequel je n’avais pas encore eu la bonne idée de me plonger.
J’ai donc retrouvé Paul Muad’Dib Atreides et sa mère Jessica. Pris dans une tempête et abandonnés au désert, ces derniers retrouvent les Fremens, par qui ils sont reccueillis.
Cette deuxième partie met en scène l’arrivée du jeune Paul, agé d’une quinzaine d’années, à la tête des indomptables Fremens. Toujours torturé par ses visions prescientes de l’avenir, ou flotte la bannière verte des Atreides, Paul cherche à éviter l’inévitable jihad.
Ce premier volume de Dune se clôt (après moultes péripéties) sur la victoire de Paul sur l’empereur et sur le baron Vladimir Harkonnen.
J’ai un peu trainé pour finir de lire cette deuxième partie. Il n’en reste pas moins que pour l’heure j’ai bien accroché et que, même si en ce moment je m’accorde une pause Asimov, je pense sérieusement à dévorer le reste des ouvrages de Herbert père.
Puis, sur les conseils de Stan, je m’attaquerai au travail de Herbert fils (j’avais initialement commencé la saga Dune par une préquelle. Stan, DoudouAngel et d’autres m’avaient alors « mis en garde »).
Bref, une aventure passionnate, loin d’être terminée. Et peut-être que, si ce week-end j’ai un peu de temps (entre la TV à ramener à la FNAC, le PDA du samedi, le passage chez Ikea pour la table à langer et le transport d’un vélo d’appartement, le rangement, le ménage,…), je regarderais le film…